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dc.contributor.authorΠαπαστύλου- Φίλιου, Ζωήel
dc.contributor.authorPapastylou-Philiou, Zoefr
dc.date.accessioned2015-11-10T12:53:19Z-
dc.date.available2015-11-10T12:53:19Z-
dc.identifier.urihttps://olympias.lib.uoi.gr/jspui/handle/123456789/6305-
dc.identifier.urihttp://dx.doi.org/10.26268/heal.uoi.9308-
dc.rightsDefault License-
dc.subjectΞενοφώνταςel
dc.subjectΑρταξέρξης (Βασιλιάς των Περσών)el
dc.subjectΒασιλικό διάταγμα ειρήνηςel
dc.subjectΑντιαλκίδειος ειρήνη (ή ειρήνη του βασιλέως)el
dc.subjectΕιρήνη (μεταξύ Ελλήνων και Περσών)el
dc.subjectΣπάρτηel
dc.titleΗ έννοια της "αυτονομίας" στην "ειρήνη του βασιλέως" (386 π.Χ)el
heal.typejournalArticle-
heal.type.enJournal articleen
heal.type.elΆρθρο περιοδικούel
heal.secondaryTitleLa notion de l' "autonomie" dans le "paix du roi" (386 av. J.C.) (Τίτλος περίληψης)fr
heal.generalDescriptionσ. [431]-[438]el
heal.generalDescriptionΚείμενο στα ελληνικά με περίληψη στα γαλλικά με τον τίτλο: La notion de l' "autonomie" dans le "paix du roi" (386 av. J.C.)el
heal.classificationΞενοφών, ο Αθηναίος (περ. 430-περ. 354)el
heal.classificationΞενοφών, ο Αθηναίος (περ. 430-περ. 354)--Κριτική και ερμηνείαel
heal.classificationΠολύβιος, π. 200-π. 120 π.Χ.el
heal.classificationΣπάρτη (Ελλάδα)--Ιστορία--Μέχρι το 146 π.Χ.el
heal.dateAvailable2015-11-10T12:54:19Z-
heal.languageel-
heal.accessfree-
heal.recordProviderΠανεπιστήμιο Ιωαννίνων. Βιβλιοθήκη και Κέντρο Πληροφόρησηςel
heal.publicationDate1992-
heal.bibliographicCitationΠεριλαμβάνει βιβλιογραφικές παραπομπέςel
heal.abstractXenophon (Helleniques 5, 1, 31) rapporte le texte de la paix du roi sous la forme d’une lettre royale resumant les resultats de la conference de paix a Suse. Π s’agit d’un document diplomatique recapitulant les clauses du traite de paix entre Grecs et Perses qui eurent l’approbation du roi. Dans la lettre royale Artaxerxes accorde Vautonomie a toutes les cites grecques excepte les villes d’Asie Mineure, les lies de Chypre et de Clazome- nes; un tel geste envers des cites qui ne lui etaient pas soumises releve de son droit d’agir en tant que cosmocrator, en tant que mattre de tout univers. Autrement, la citation en question devrait etre «libres et autonomes» (έλευ- θέρας καί αυτονόμους άφεϊναι). Polybe (4, 27, 5) est le seul a parler de «cites libres et autonomes» (πόλεις έλευθέρας καί αυτονόμους); dans toutes les autres sources relatives a cette paix connue comme Άντιαλκίδειος, il est question de cites autonomes uniquement. L’etude de la lettre royale (Xen. Heii. 5, 1, 31) en collation avec le passage de Polybe (4, 27, 5) conduit au dilemme suivant: soit on considere que le terme ελευθέρους disparut dans le texte de Xenophon, soit que ce mot fut rajoute dans le texte de Polybe par la propre initiative de son auteur, qui voulut ainsi restituer l’esprit, et non pas la lettre du traite. Nous sommes enclins a opter pour la seconde proposition, etant donne que le roi de la Perse ne revendiquait pas simplement la maftrise du monde, mais l’avait effectivement declaree comme realite concrete. Ceci expliquerait l’omission volontaire du terme «libres» dans la proclamation de l’autonomie des cites: en effet, la liberte leur etait ainsi essentiellement accordee, mais de fa9on voilee, qui n’imposait pas l’ajoute d’un terme comme έλευθέρους dans la lettre royale.el
heal.publisherΠανεπιστήμιο Ιωαννίνων. Φιλοσοφική Σχολή. Τμήμα Ιστορίας και Αρχαιολογίαςel
heal.journalNameΔωδώνη: Τεύχος Πρώτο: επιστημονική επετηρίδα του Τμήματος Ιστορίας και Αρχαιολογίας της Φιλοσοφικής Σχολής του Πανεπιστημίου Ιωαννίνων; Τόμ. 21 (1992)el
heal.journalTypepeer-reviewed-
heal.fullTextAvailabilitytrue-
Appears in Collections:Τόμος 21 (1992)



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