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DC FieldValueLanguage
dc.contributor.authorΠαπαστύλου- Φίλιου, Ζωήel
dc.contributor.authorPapastylou-Philiou, Zoefr
dc.date.accessioned2015-11-09T10:18:00Z-
dc.date.available2015-11-09T10:18:00Z-
dc.identifier.urihttps://olympias.lib.uoi.gr/jspui/handle/123456789/6062-
dc.identifier.urihttp://dx.doi.org/10.26268/heal.uoi.9300-
dc.rightsDefault License-
dc.subjectΚλεομένης Γ' (235-222) (Βασιλιάς της Σπάρτης)el
dc.subjectΆγης Δ' (245/4-241) (Βασιλιάς της Σπάρτης)el
dc.subjectΑναπλήρωσις των πολιτών (συμπλήρωση δηλαδή του σώματος των πολιτών)el
dc.subjectΑναπλήρωσις από ξένουςel
dc.subjectΑναπλήρωσις από περίοικουςel
dc.subjectΠολίτες-Στρατιώτες (στη Σπάρτη)el
dc.subjectΠλούταρχοςel
dc.titleΗ "αναπλήρωσις" των πολιτών στη μεταρρύθμιση του Κλεομένη Γ'el
heal.typejournalArticle-
heal.type.enJournal articleen
heal.type.elΆρθρο περιοδικούel
heal.secondaryTitleLa Anaplerosis des citoyens dans la reforme de Cleomene III (Τίτλος περίληψης)fr
heal.generalDescriptionσ. [71]-86-
heal.generalDescriptionΚείμενο στα ελληνικά με περίληψη στα γαλλικά με τον τίτλο: La Anaplerosis des citoyens dans la reforme de Cleomene IIIel
heal.classificationΚλεομένης Α΄ Βασιλιάς της Σπάρτης, περ. 520-490el
heal.classificationΣπάρτη (Αρχαία πόλη)--Ιστορίαel
heal.classificationΣπάρτη (Αρχαία Πόλη)--Πολιτική και διακυβέρνησηel
heal.dateAvailable2015-11-09T10:19:00Z-
heal.languageel-
heal.accessfree-
heal.recordProviderΠανεπιστήμιο Ιωαννίνων. Βιβλιοθήκη και Κέντρο Πληροφόρησηςel
heal.publicationDate1997-
heal.bibliographicCitationΠεριλαμβάνει βιβλιογραφικές παραπομπέςel
heal.abstractUn des points centraux du programme de reforme de Cleomene III (227 av. J.-C.) est la anaplerosis, c’ est - a - dire le complement du corps des citoyens. Nous relevons trois passages chez Plutarque ou il est question de cette anaplerosis. Dans le premier (Cleom. 10,11), elle se fait en rectutant des «etrangers», dans le second (Cleom. 11,3) des «perieques» et dans le troisieme (.Aratus 38,4) des «meteques». Ce dernier cas paraft paradoxal, si Γ on admet que Sparte etait une ville fermee aux etrangers et done aux meteques. C’ est pourquoi nous devons soit accepter Γ opinion des R. Flaceliere et έ. Chambry (.Plutarque Vies, XV, Paris 1979, p. Ill, η. 1) selon laquelle Plutarque ne faisait pas de distinction entre les deux mots («perieques» - «meteques»), soit corriger dans Aratus 38, 4 le mot «meteques» en «perieques». Nous optons pour la deuxieme proposition pour les raisons suivantes: a) Dans Γ etat actuel de nos connaissances, les meteques demeuraient etrangers, tandis que les perieques faisaient partie de la communaute des Lacedemoniens; il etait done plus naturel que Cleomene «supplee» le corps des citoyens avec des perieques. b) Le recrutement militaire etait une obligation des perieques envers la ville des Lacedemoniens; les perieques s’ offraient de ce fait pour completer le nombre des citoyens. c) Dans un temps anterieur, les perieques beneficiaient du droit a Γ egalite et a la citoyennete et a Γ acces a un certain nombre d’ offices (Strabo, Geographie 8,5,4); le choix de Cleomene equivaudrait dans ce cas avec un retablissement, aussi tardif soit-il, de leurs avantages au sein de la ville. d) D faut tenir compte du fait qu’ a Sparte, au moins pendant l' epoque classique, vu l' institution de la xenelasia (le bannissement des etrangers), V implantation d’ etrangers semble difficile, sinon pratiquement defendue. e) Du point de vue de la paleographie, la correction du μετοίκων en περίοικων ne pose pas probleme. f) Le mot «meteque» est releve dans un autre passage de Plutarque (Numa 24 (2), 5-6), relatif au «temps de Lycurgue»; cette epoque est trap reculee pour qu’ on puisse juger de la credibilite des informations dont nous disposons, et nous ne sommes pas oblige d’ admettre que ce qui etait en vigueur «au temps de Lycurgue» le restait toujours a Γ epoque classique. Tout compte fait, le mot «meteque» ne semble pas relever de la termi- nologie spartiate, et done ce n’ est pas de son sens strict que Plutarque se sert ici. Vu le contenu, s’ il lui fallait utiliser un certain terme, ce serait celui de «perieques», qui doit done remplacer le «meteques» de notre passage. Cependant, si Γ on peut tenir pour certain que le mot «meteques» n’ est pas significatif de Γ existence d’ une institution de meteques en Sparte, on ne peut nier qu’ il y existait Γ institution de «trophimoi xenoi» (etrangers pupilles), assez proche de celle des atheniens, mais avec des differentiations notables. Plutarque se sert-il du mot «meteques» pour signifier les «trophimoi xenoi» de Sparte? Si c’ est le cas, notre proposition de correction du Aratus 38,4 n’ est pas tout a fait sQre.-
heal.publisherΠανεπιστήμιο Ιωαννίνων. Φιλοσοφική Σχολή. Τμήμα Ιστορίας και Αρχαιολογίαςel
heal.journalNameΔωδώνη: Τεύχος Πρώτο: επιστημονική επετηρίδα του Τμήματος Ιστορίας και Αρχαιολογίας της Φιλοσοφικής Σχολής του Πανεπιστημίου Ιωαννίνων; Τόμ. 26 (1997)el
heal.journalTypepeer-reviewed-
heal.fullTextAvailabilitytrue-
Appears in Collections:Τόμος 26 (1997)



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